" Samsara explores the wonders of our world from the mundane to the miraculous, looking into the unfathomable reaches of man’s spirituality and the human experience "
Un documentaire sans commentaires ? C'est possible lorsque les images et le son occupent tout l'espace.
Le terme saṃsāra fait référence, en sanscrit, au mouvement cyclique de la vie des êtres non-éveillés, son éternel commencement, maturation, fin et recommencement, jusqu'à ce que soit atteint le nirvāṇa, comportant tout son lot de beautés comme de souffrances qui sont part du monde physique. Pour ce film documentaire qui parcours plus d'une centaine de lieux et deux douzaines de pays, ce concept hindou sert de fil rouge entre les différents aspects du monde et des humains, et en bien des points il est similaire à Baraka ou Chronos, des productions antérieures des mêmes réalisateurs (pour ceux qui connaissent).
Construction intellectuelle d'images et de musiques, le montage s'affranchit de tout texte ou commentaire pour guider par ellipses le spectateur à travers des lieux saints, des zones dévastées, des espaces naturels, des villes-ruches ou des complexes industriels et entraîner son esprit dans un voyage spirituel. Cherchant à réveler l'essence des choses, des lieux et des situations par l'image fixe, le montage - s'il recherche nécessairement une certaine esthétique et n'est pas exempt de messages - se pose d'abord comme une invitation à une méditation fondée sur l'interprétation personelle des scènes proposées qui seront parfois un peu trop manifestes et parfois franchement élusives.
Techniquement, le travail de photographie est impressionnant - autant pour la qualité des image que pour le matériel mis en place. Le visionnage en salle de cinéma apparaît comme devoir être une expérience intéressante. Malheureusement, maintenant il ne reste que le Blu-ray et le Home Cinéma pour pleurer devant.
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Le Trailer :
La Bande Originale :
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Samsara
Production: Ron Fricke et Mark Magidson
Musique: Michael Stearns, Lisa Gerrard, Marcello De Francisci
Année : 2011
Durée: 99 minutes
Genre: Documentaire, Contemplation, Méditation
voir page Wikipédia, et le site officiel Samsara
Le terme saṃsāra fait référence, en sanscrit, au mouvement cyclique de la vie des êtres non-éveillés, son éternel commencement, maturation, fin et recommencement, jusqu'à ce que soit atteint le nirvāṇa, comportant tout son lot de beautés comme de souffrances qui sont part du monde physique. Pour ce film documentaire qui parcours plus d'une centaine de lieux et deux douzaines de pays, ce concept hindou sert de fil rouge entre les différents aspects du monde et des humains, et en bien des points il est similaire à Baraka ou Chronos, des productions antérieures des mêmes réalisateurs (pour ceux qui connaissent).
Construction intellectuelle d'images et de musiques, le montage s'affranchit de tout texte ou commentaire pour guider par ellipses le spectateur à travers des lieux saints, des zones dévastées, des espaces naturels, des villes-ruches ou des complexes industriels et entraîner son esprit dans un voyage spirituel. Cherchant à réveler l'essence des choses, des lieux et des situations par l'image fixe, le montage - s'il recherche nécessairement une certaine esthétique et n'est pas exempt de messages - se pose d'abord comme une invitation à une méditation fondée sur l'interprétation personelle des scènes proposées qui seront parfois un peu trop manifestes et parfois franchement élusives.
Techniquement, le travail de photographie est impressionnant - autant pour la qualité des image que pour le matériel mis en place. Le visionnage en salle de cinéma apparaît comme devoir être une expérience intéressante. Malheureusement, maintenant il ne reste que le Blu-ray et le Home Cinéma pour pleurer devant.
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Le Trailer :
La Bande Originale :
Production: Ron Fricke et Mark Magidson
Musique: Michael Stearns, Lisa Gerrard, Marcello De Francisci
Année : 2011
Durée: 99 minutes
Genre: Documentaire, Contemplation, Méditation
voir page Wikipédia, et le site officiel Samsara
Commentaires
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Salut ! Laissez moi donc un message, à défaut de me jeter des cacahouètes par dessus la grille... :P